Au Café de Flore avec Jean-Claude Santier, Journaliste.
Paris, 26 Septembre 2016
JEAN CLAUDE SANTIER, JOURNALISTE:
<< Je vais écrire mon texte en Français car je suis bien incapable de l'écrire en anglais surtout pour un artiste tel que Bernard Teiling qui est aussi un scientifique, et un "puits de science". Au Japon, il serait nommé Trésor National Vivant. Rarement dans ma vie, j'ai eu cette chance de rencontrer des êtres d'exception.
Pourtant j'ai été heureux de me cultiver un peu avec Gérard Garouste, Bernard Werber, de Louis Leprince-Ringuet, Jean Malaurie, Michel Serres, Jacqueline de Romilly, Eric Emmanuel Schmitt, Desgraupes, Dumayet, Sabbagh, Jean-Marie Pelt, Jean-Michel Ribes, Bertrand Piccard et j'en oublie beaucoup, notamment Béart, mais Bernard Teiling c'est autre chose, il sait qu'il sait beaucoup mais il a l'intelligence rare de ne pas être ostentatoire et de se mettre en avant, cela c'est une qualité rare…
Le véritable sens de sa singularité n'est pas visible au peintre ni à l'homme de sciences, et c'est un travail sur soi qui fait de ne confondre singularité et invention d'une nouvelle création sans aller chercher dans des traditions passées ou des contrées étrangères une appropriation d'une configuration nouvelle.
Jouer le rôle d'une vie quand on a déjà montré ses immenses qualités dans les plus hautes sphères d'une des World Societies, ce n'est pas rien. Il faut avoir ce talent rare de Bernard Teiling pour prendre conscience de son pouvoir avec une humilité, découvrir sa richesse profonde, retrouver l'essence de sa mission sur terre et redonner un sens à son existence avec brio.
Bernard Teiling est inépuisable pour donner une interprétation intellectuelle de ses tableaux dans une thèse qui permettrait d'en faire un cours magistral, et en toute simplicité. Je remercie Dieu, ou la destinée de l'avoir mis sur mon chemin. >>
JEAN CLAUDE SANTIER